* Conversation : un des interlocuteurs n'a pas

* Conversation : un des interlocuteurs n'a pas conscience d'une des dimensions - ou de plusieurs - lui faisant tenir le discours qu'il tient. C'est dans cet espace vide que quelqu'un d'autre peut ou non introduire ses propres concepts, et vouloir rendre compte du discours qu'il entend en simplifiant l'individu qui le tient : c'est là la force du langage, qui devient sans doute dangereuse lorsque l'on croît posséder la vérité. Y a-t-il une éthique du langage ?